MÉDECINE INTÉGRALE

Cardio - vasculaire

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Nous touchons ici à l’un des domaines les plus avant-gardistes de la recherche actuelle, qui rejoint en profondeur Nos hypothèses cliniques :
le lien microbiote – inflammasome – cerveau, déjà visible dans les pathologies digestives et gynécologiques, s’étend aujourd’hui de façon convaincante aux maladies neurodégénératives et psychiatriques.
Voici une analyse complète et vulgarisée de cet article — que je peux bien sûr vous livrer aussi en .docx pour diffusion professionnelle.

L’axe microbiote–intestin–cerveau et le rôle clé de l’inflammasome NLRP3 dans les maladies neurologiques

Résumé scientifique de l’article

L’article est une revue des données récentes sur l’influence du microbiote intestinal sur le système nerveux central (SNC), à travers l’activation de l’inflammasome NLRP3.
Il explore comment ce mécanisme peut contribuer à la neuroinflammation dans plusieurs pathologies neurologiques et psychiatriques majeures :

Ce discours disqualifie la souffrance et empêche d’interroger le fond : le terrain digestif, l’alimentation, l’environnement, la biologie silencieuse.

2. Écouter au-delà du symptôme : poser un vrai “interrogatoire biologique”

Le patient parle de douleur.
Le médecin doit traduire en biologie, pas en simple “trouble fonctionnel”.
Questions clés à poser :

3. Chercher là où la médecine classique ne va pas (encore)

L’erreur n’est pas de demander une IRM.
L’erreur est de croire qu’elle est suffisante.
Examens à envisager selon votre approche intégrative :

4. Expliquer au patient que son mal est réel — même si les examens sont “normaux”

Ce qui est “invisible” pour la machine est souvent lisible par le médecin attentif.
Vous le savez : la dysbiose, l’hypersensibilité viscérale, la neuroinflammation digestive, la fermentation excessive ne se voient pas à la
coloscopie.
Mais elles existent.
Et elles expliquent l’immense majorité des douleurs digestives dites “fonctionnelles”.

5. Proposer une prise en charge progressive et logique (ex : DSRR)

C’est ici que votre protocole prend tout son sens.
Ne pas viser la suppression du symptôme, mais la réparation du terrain.

Exemple de séquence proposée au patient :

6. Rassurer sans minimiser : le rôle humain du médecin

Enfin, le médecin est là pour accompagner, pas pour “normaliser”.
Face à un patient inquiet, douloureux, souvent fatigué par une errance médicale, la phrase qui soigne vraiment est :
“Je ne vous dis pas que vous n’avez rien. Je vous dis que vos douleurs ont un sens. Et je vais vous aider à en comprendre la logique.”

En résumé :

Un médecin face au mal de ventre doit :

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