Accueil MÉDECINE INTÉGRALE Endométriose Endométriose L’endométriose est traitée comme une pathologie gynécologique isolée, alors qu’elle est l’expression visible d’un terrain inflammatoire systémique. Ce déni d’origine, entretenu par les plus hautes sphères scientifiques et institutionnelles, empêche une réelle prévention, retarde la prise en charge causale, et maintien des millions de femmes dans la douleur et l’incompréhension. Endométriose : une maladie qui dérange la science parce qu’elle commence ailleurs “Vous n’avez rien à l’IRM.” Mais elles souffrent. Parfois depuis l’adolescence. Et ce n’est pas l’utérus qui parle, c’est tout leur corps. Un blocage scientifique qui n’ose pas dire son nom Depuis 30 ans, la recherche sur l’endométriose se concentre sur les lésions visibles, l’utérus, les ovaires, la douleur pelvienne.Les publications se succèdent. Les colloques s’enchaînent. Et pourtant, la question centrale est évitée : Pourquoi cette maladie apparaît-elle ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi si jeune ? Le discours officiel tourne en rond : Théorie du reflux menstruel (Sampson) Causes hormonales floues Traitements symptomatiques (hormones, chirurgie) Et jamais — jamais — le terrain systémique inflammatoire et digestif n’est interrogé sérieusement. Une incohérence biologique majeure Ce que montre pourtant la clinique, et que la recherche confirme (mais sans oser le dire) : La dysbiose intestinale précède souvent les douleurs pelviennes. L’inflammation de bas grade est détectable bien avant les premières lésions visibles. Des douleurs articulaires, digestives, cervicales, cutanées apparaissent parfois dès l’adolescence, avant toute atteinte gynécologique détectable. Le microbiote intestinal et vaginal des patientes est profondément déséquilibré L’endométriose n’est pas une maladie de l’utérus.C’est l’utérus qui souffre d’une maladie du terrain. Une atteinte mondiale, un silence institutionnel En France, plus de 2 millions de femmes sont concernées.Dans le monde : plus de 190 millions selon l’OMS. Et pourtant : 7 ans de retard diagnostic en moyenne Des souffrances minimisées (“c’est normal d’avoir mal pendant les règles”) Des traitements de blocage hormonal imposés à des adolescentes Des chirurgies répétées sans guérison Ce silence n’est pas neutre. Il coûte : en qualité de vie, en fertilité, en santé mentale, en argent public…Et il est entretenu par une vision réductionniste et dépassée du corps féminin. Ce qu’il faut reconnaître d’urgence Le corps n’est pas un ensemble d’organes juxtaposés.→ L’intestin, le système nerveux, le microbiote, les muqueuses, les tissus conjonctifs sont interconnectés. La médecine ne peut plus ignorer le microbiote.→ La recherche récente sur l’inflammasome NLRP3 confirme le lien entre dysbiose, inflammation et douleurs chroniques. L’endométriose est la conséquence, pas l’origine.→ C’est une expression périphérique d’un déséquilibre systémique inflammatoire. Une autre médecine est possible : réparer au lieu de bloquer C’est dans cette logique que s’inscrit le protocole DSRR : Détoxication des perturbateurs endocriniens et de l’alimentation inflammatoire Stimulation du microbiote protecteur Réparation de la barrière intestinale et des tissus Régénération cellulaire (métabolique, hormonale, nerveuse) Ce n’est pas une alternative :C’est une base.Une base logique, biologique, intégrative.Une médecine du pourquoi, pas du “voici une pilule”. Tant que l’on refuse de regarder ailleurs que l’utérus, on condamne des millions de femmes à souffrir. L’endométriose n’apparaît pas ex nihilo, elle est le dernier signal d’un corps en déséquilibre depuis longtemps. Refuser de le voir, c’est médicalement inacceptable, et éthiquement dangereux.
Comprendre la Maladie de l’Endométriose
Accueil MÉDECINE INTÉGRALE Comprendre la Maladie de l’Endométriose Comprendre la Maladie de l’Endométriose Comprendre la maladie de l’endométriose qui est une maladie chronique qui affecte environ une femme sur dix en âge de procréer est une tache importante pour nous car mes découvertes nous obligent à reetudier cette maladie sous un angle complétement different. Classiquement cette maladie se caractérise par la présence de tissu semblable à l’endomètre en dehors de l’utérus. Ce tissu peut se retrouver sur les ovaires, les trompes de Fallope, ou d’autres organes pelviens. En fait mes etudes sur plusieurs centaines de patientes demontrent que la maladie a une origine intestinale, ou nous trouvons une atteinte du Microbiote, de la paroi digestive, et enfin une atteinte du systeme immunitaire. Symptômes de l’endométriose Comprendre la maladie de l’endométriose nécéssite de bien etudier les symptômes de l’endométriose qui varient d’une personne à l’autre, mais les plus courants incluent des douleurs pelviennes, des règles abondantes et douloureuses, ainsi que des douleurs pendant les rapports sexuels. Certaines femmes peuvent également éprouver des problèmes de fertilité. Mais depuis le mois d’Aout 2022 ou j’ai eu la chance de voir prés de 60 femmes en quéte de soulagement en l’absence de leur gynécologues . C’est là que j’ai vu une souffrance plus générale et surtout articulaire, donc la maladie n’etait pas que gynecologique. Diagnostic et traitement Le diagnostic de l’endométriose peut être difficile car ses symptômes ressemblent à ceux d’autres maladies. Il est souvent confirmé par une laparoscopie, une procédure chirurgicale qui permet de voir directement les lésions. Les traitements incluent des médicaments pour contrôler la douleur, des thérapies hormonales pour réduire la croissance du tissu endométrial, et parfois la chirurgie pour enlever les lésions. Mais pour moi il fallait elargir les recherches : bilan articulaire, immunologique. etc.. Vivre avec l’endométriose Vivre avec l’endométriose peut être un défi, mais il existe des stratégies pour mieux gérer la maladie. Suivre un régime alimentaire équilibré, pratiquer des exercices réguliers et utiliser des techniques de relaxation peuvent aider à réduire les symptômes. Il est également important de chercher un soutien émotionnel, que ce soit par le biais de groupes de soutien ou de professionnels de la santé mentale. Ça c’est l’attitude classique et depuis ce mois d’Aout 2022 il fallait introduire des traitements adaptés a mes découvertes et essayer de bloquer les processus inflammatoire et auto immuns .
L’endométriose et l’importance du test endotest® pour un diagnostic rapide
Accueil MÉDECINE INTÉGRALE L’endométriose et l’importance du test endotest® pour un diagnostic rapide L’endométriose : Comprendre la maladie L’endométriose est une affection gynécologique complexe qui touche de nombreuses femmes, provoquant des douleurs intenses, en particulier pendant les règles. Les symptômes courants incluent des douleurs abdominales sévères, des règles hémorragiques et des problèmes de fertilité. Diagnostiquer cette maladie peut être un véritable défi, ce qui rend l’utilisation de méthodes innovantes comme les tests salivaires encore plus essentielle. Pourquoi le test endotest® est-il si important? Le test endotest® permet un diagnostic rapide de l’endométriose, offrant ainsi une solution efficace pour celles qui souffrent de symptômes persistants. Grâce à ce test, les professionnels de santé peuvent évaluer les marqueurs hormonaux présents dans la salive. Cela aide à déterminer rapidement la présence possible d’endométriose, ce qui est crucial pour entamer un traitement approprié. L’impact de l’endométriose sur la fertilité L’endométriose n’affecte pas uniquement le cycle menstruel; elle peut également avoir des conséquences significatives sur la fertilité. Les femmes touchées peuvent rencontrer des difficultés à concevoir, ce qui peut engendrer du stress et de l’anxiété. Il est donc essentiel de consulter un professionnel de santé dès l’apparition des symptômes. Utiliser le test endotest® peut non seulement faciliter un diagnostic efficace, mais également ouvrir la voie à des options de traitement adaptées pour améliorer la qualité de vie et la fertilité.